de jony91 » Mer Juil 05, 2006 7:30 pm
je crois qu'elle a deja ete dites!
je la remet au cas où:
Toto demande à son père :
- Papa, je dois faire un exposé à l'école, est-ce que je peux te poser quelques questions ?
- Oui bien sûr, vas y qu'est-ce que tu veux savoir ?
- C'est quoi la politique ? Le père réfléchit un peu puis se lance :
- Et bien voila, prenons comme exemple notre foyer. Je suis un salarié, donc je gagne de l'argent, donc appelons moi "capitalisme". Ta mère c'est l'administrateur des biens, appelons la "gouvernement". Nous devons nous occuper de toi et pourvoir à tes besoin, donc toi tu es "le peuple". Appelons la bonne "la classe ouvrière", et ta petite soeur qui n'a qu'un an, "le futur". Est ce que c'est plus clair maintenant? Le petit réfléchit et dit :
- Je ne suis pas très sûr, mais je vais y réfléchir.
Cette nuit là, réveillé par les cris de sa petite soeur, le garçon est allé voir ce qui n'allait pas. Découvrant que sa jeune soeur a sérieusement remplit ses couches, le petit est allé à la chambre de ses parents en voyant que sa mère est profondément endormie il alla voir dans la chambre de la bonne où à travers le trou de serrure il a vu son père en train de sauter la bonne. Le petit fut tellement dégoûté par ce qu'il a vu qu'il est retourné dans sa chambre et s'est recouché. Le lendemain matin le petit va voir son père:
- Ça y papa, maintenant je crois avoir compris ce que c'est que la politique.
- Très bien fiston! Raconte moi maintenant avec tes propres mots.
- Et bien, pendant que le Capitalisme encule la Classe Ouvrière, le Gouvernement est profondément endormi, le Peuple est complètement ignoré et le Futur est dans la m****.
une autres,pour si celle du decu a deja ete dites
Toto se promène dans la rue avec son papa. Ils passent devant une maison bizarre, avec des fenêtres aux tentures fermées, des néons dans l'entrée, etc... Toto : "Papa, c'est quoi la maison, la ? Hein papa, c'est quoi ?" Le papa, ennuyé: "Ce n'est rien, ce n'est pas pour les petits garçons sages. Tu sauras plus tard ce que c'est. Viens, on continue la promenade". Revenu à la maison, Toto ne peut résister à la curiosité. Profitant d'un manque d'attention de son papa, il prend un billet de 1.000 francs dans le portefeuille familial et sort discrètement. Quelques minutes plus tard, il est dans le hall de la grande maison avec des tentures et des néons colorés. Une dame en petite tenue se tient derrière un comptoir. Toto : "BONJOUR Madame, excusez-moi de vous déranger: Voici 1.000 francs, et j'en voudrais pour mon argent". La dame, ennuyée, demande à Toto de patienter quelques instants. Elle se rend dans une pièce à l'arrière où se trouve le "patron". La dame : "Dis, Giuseppe, il y a un gamin à l'entrée; il m'a donné 1 000 francs et il m'a dit qu'il en voulait pour son argent. Qu'est-ce que je fais ?" Giuseppe : "Il est sans doute victime d'une blague de copains plus âgés... Tu te souviens des crêpes qu'on a faites avant-hier. Il y en a encore quelques-unes au frigo. Réchauffe-les en vitesse, donne-les lui et rends-lui 950 francs. Il sera content et il partira". La dame s'exécute, amusée... Revenu à la maison, Toto tombe sur un papa furieux. Il le cherche partout depuis une heure et il s'est aperçu du vol dans son portefeuille. La papa : "Toto, où étais-tu ?" Toto : "J'étais dans la grande maison avec des tentures et des lampes de toutes les couleurs". La papa, très inquiet et craignant le pire pour l'innocence du fiston : "Et qu'est-ce que tu as fait dans cette maison ?" Toto : "Papa, c'était fantastique ! Quel service ! J'ai donné 1.000 francs, on m'a rendu 950 francs. J'en ai eu 8, et il y en a 4 qui étaient tellement chaudes que j'ai du les finir sur le trottoir!"